Dacia Talk : une 3ème session riche en enseignements
Rencontre devenue un rendez-vous incontournable, «Dacia Talk» a réunit quelques représentants de la presse nationale autour d’une thématique chère à la marque le «rapport prix/prestations». L’occasion d’expliquer l’inflation tarifaire connue par Dacia comme les autres marques et de rappeler combien le label leader du marché évolue bien avec son temps.
Vous l’avez certainement constaté ces derniers mois : les prix des voitures neuves ont considérablement augmenté au point de susciter interrogations et baisse des ventes dans les concessions automobile. Aucune marque n’a échappé à ce phénomène conjoncturel, certes, mais qui est bien parti pour durer. La principale question qui revient sur toutes les langues est celle de pourquoi une telle hausse quasi-généralisée ? D’où l’intérêt et la thématique de la troisième édition du «Dacia Talk Maroc». Cette rencontre devenue un rendez-vous annuel avec la presse nationale a été axée sur l’aspect «best value for money» de Dacia, marque qui redéfinit constamment l’essentiel.
Pour animer cette troisième session, Fabrice Crevola et Abdelhamid Lotfi, respectivement directeur général et directeur marketing de Dacia Maroc ont pris la parole tour à tour, en présence aussi de Raphaèle Jarry, Vice-Présidente de Dacia Monde en charge des lancements de véhicules et des cycles de vie. Les discussions se sont ouvertes sur un rappel chiffré sur les bonnes performances de la marque qui entretient durablement son leadership depuis des années maintenant. En 2024, Dacia a même amélioré sa part de marché de 3,1 points à 26,1% après avoir vendu 15.225 véhicules à fin mai. Cela, alors même, que sa gamme a subi (elle aussi) d’importantes hausses entre 2020 et 2024.
À titre d’exemple, une Sandero coute actuellement 174.000 DH, alors qu’elle s’affichait encore à 131.900 DH en 2020 ! Malgré, cette augmentation, la Sandero demeure plus compétitive et abordable que les autres modèles du même segment (B ou citadine bicorps), dont les prix moyens ont cru de façon plus conséquente. Et il en va ainsi pour tous les autres modèles de Dacia, dont on précisera qu’ils sont leaders dans leurs catégories respectives. C’est ce qu’a souligné Lotfi Abdelhamid dans sa prise de parole qu’il a notamment axée sur les raisons de l’augmentation tarifaire de sa marque.
«Ces hausses de prix n’étaient ni un choix, ni une volonté, mais une obligation du fait de plusieurs facteurs», a-t-il déclaré, expliquant qu’il a fallu faire fasse à une série d’inflations et d’augmentations de coûts dans l’industrie automobile, incluant des matières premières, l’énergie, le transport et la logistique. À côté de tout cela, il a fallu également impacter le passage à la norme antipollution Euro 6 sur toutes les Dacia qui ont d’ailleurs été «renouvelées et dotées d’un design plus affirmé et d’un contenu technologique amélioré», dixit Abdelhamid Lotfi. Puis d’afficher une slide montrant ce qu’offrent les Dacia de la nouvelle ère et notamment la carte mains-libres (accès et démarrage), le frein de parking électrique ou encore, le système de surveillance de l’angle mort.
Celui qui tient consciencieusement les rênes du marketing de Dacia au Maroc a également souligné l’excellence du coût d’usage offert par les véhicules Dacia et leur valeur à la revente sur le marché de l’occasion. Aujourd’hui, une Dacia s’affiche en moyenne à 10% de moins que le prix d’achat sur le marché du neuf. Idem pour son coût d’entretien, 10% moins cher que la moyenne, tandis que sa valeur à la revente est 10% supérieur à la moyenne des autres marques du marché. Mieux encore, Abdelhamid Lotfi a révélé que la valeur résiduelle de Dacia, qui dépasse le seuil des 60% en Europe, frôle les 80% au Maroc et notamment pour des modèles comme le Duster !
Enfin, cette troisième session du «Dacia Talk» s’est achevée sur le vent de nouveautés qui va souffler sur la marque. En attendant l’arrivée du Duster de troisième génération (courant 2025), la grande nouveauté de la marque sera le Jogger. Un crossover à 7 places, doté de la nouvelle identité visuelle de Dacia, d’un équipement moderne et d’un choix sous le capot qui peut abriter soit un diesel (1.5 dCi de 102 ch), soit un moteur hybride (1.6 essence de 140 ch). Produit au Maroc, ce véhicule ciblera autant les professionnels (Grands Taxis) que les particuliers que auxquels il ouvrira son carnet des commandes en juillet pour des premières livraisons entre septembre et octobre prochains. Là encore, le Jogger viendra rappeler combien Dacia correspond à un achat malin et un rapport prix/prestations imbattable.